Notre petite famille s'agrandissant et pas notre appartement, nous envisageâmes d'aller dans une habitation à loyer modéré. Nous nous mires d'accord sur un petit collectif, monsieur souhaitait refuser deux quartiers qu'il n'aimait pas, mais je ne le suivis pas de peur d'avoir moins de chance de se voir attribuer un logement. Au mois de juillet l'année dernière, un lettre nous annonce que nous pouvons emménager 3 semaines plus tard si nous le souhaitons. Le quartier désigné fait bondir l'homme, je me rend immédiatement à l'adresse indiquée, prends des photos, interroge le voisinage. Le quatrième sans ascenseur ne m'effraie pas, la rue est paisible, l'appart a un grand balcon, l'appart est grand et plein sud, il y a de la verdure, je suis confiante, l'homme cède...
Nous y habitons depuis 7 mois, et je n'ai qu'une envie, partir, partir vite...
Ce qui se passe ici, les gens qui habitent (pour la plupart) ici, rien ne nous ressemble, je suis mal à l'aise, pas en sécurité, je ne pensais pas que ce que je vois ici quotidiennement existait ! Une pauvreté extrême, la jalousie à tous les étages, le vol, la destruction, la vulgarité, les enfants laissés à l'abandon, saleté, crottes de chien et compagnie.
Au secours
4 commentaires:
Courage et gros bisous
ben oui, ça me navre ce petit post...
on sera là promis pour un prochain déménagement au plus tôt. Et on croise les doigts encore 10 jours.
Comme je te comprends hélène...travaillant sur les quartiers dits "populaires" je sais de quoi tu parles! Courage !
Merci merci, comme je l'ai déjà écrit, jamais je n'aurais imaginé tout cela,j'espère que nous pourrons vite voir autre chose, la campagne peut être...
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