lundi 21 juin 2010

je ne m'arrête plus et en plus j'aime ça !

d'après le patron et les explications de ce livre, explications qui ne m'ont pas toujours parlées, j'ai un peu bidouiller sur certaines étapes mais le résultat me plait. Voici le premier pantalon de petite TendressE.

la robe trop raccourcie rallongée et sa remplaçante

dimanche 20 juin 2010

A mes fillettes...


Allez viens-là que je te ferme ton cartable



T'as pas touché tes Miel Pops sur la table
Dans l'ascenseur tu vises le bon bouton
J'entends ton coeur sous ton blouson

Dehors le ciel est là comme d'habitude

Un peu sali, un peu bas, un peu rude
Devant l'école je te rattache ton bouton
Et toi tu te colles sous mon blouson

Allez va, aller
Lâche-Moi, allez va-t'en, va mon amour
Plus tu partiras plus tu seras heureux un jour
Sur le fil tu mènes la danse
C'est pas facile et ça balance
Je te tiens, va

Allez va, allez
Lâche-Moi, lâche moi la main, va voir autour
Plus tu grandiras, plus tu apprendras tous les jours
A nager dans les grands bains et à te jeter à ton tour
Je te tiens, va

On dit que la vie elle est semée d'embuches

C'est pas si grave ça rime avec peluches
Celles qui un jour prendront toute la poussière
Larguées sur ton étagère

Allez va, allez
Lâche-Moi, allez va-t'en, va mon amour
Plus tu t'en iras plus tu seras heureux un jour
Sur le fil tu mènes la danse
C'est pas facile mais tu te lances
C'est la vie, va

Allez va, allez dégage, allez tire-toi, tire-toi et cours

Plus tu grandiras,plus tu prieras pour qu'à mon tour
Je te lâche enfin la main et tout le reste pour qu'un beau jour
C'est ta vie, va

Aller viens-là que je t'enlève ton blouson

C'était comment aujourd'hui et ta leçon?
La maîtresse m'a dit qu'elle t'a mis un A
Pour la peine ce soir open bar Nutella

(Chanson de Clarika, Merci Tiphaine...)

samedi 19 juin 2010

minettes sur les plages

Je me suis lancé et j'ai adoré, je vais en faire d'autres c'est sûre !
de beaux tissus, une copie de robe fait par mon amimandine et hop !

Je dois encore leur essayer avant de crier victoire...

apéritif dinatoire

j'adore cuisiner des petits mets jolis.
Voici mes dernières créations (merci mag pour les verrines)
Quelques unes des recettes testées hier...

Sablés tomates séchées, parmesan et basilic
    * 200 g de farine
    * 90 g de beurre
    * 1 oeuf
    * 1 cuillère à café de basilic haché (surgelé pour moi)
    * 50 g de parmesan en poudre
    * 60 g de tomates séchées
    * Préparation : 10 mn
    * Cuisson : 15 mn
    * Repos : 10 mn
    * Temps total : 35 mn
Faites une boule de pâte avec la farine, le beurre mou, le basilic et l'œuf. Ajoutez un peu d'eau si besoin afin de former une boule homogène et non collante.
Ajoutez à la pâte le parmesan en poudre, les tomates séchées découpées en petits morceaux.
Malaxez la pâte et donnez-lui la forme d'un boudin. Enveloppez-le de film alimentaire et réservez 10 minutes au congélateur.
Préchauffez le four à 180°C (thermostat 6).
Coupez des tranches dans le boudin et disposez-les sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé. Enfournez pour une quinzaine de minutes à 180°C (thermostat 6). Les sablés durciront légèrement hors du four.

Madeleines au poivron jaune et thon
- 3 oeufs
- 200 g de farine
- 10 cl d'huile
- 10 cl de lait
- 300 g de poivrons en dés (rouge + vert)
- 1 boîte de thon au naturel de 190 g (140 g net égoutté)
- 1 sachet de levure
- 100 g de gruyère râpé
- 1 pincée de sel
- poivre
- herbes de Provence
Préchauffez le four à 180°C (Th 6).
Dans une poêle, cuire les poivrons dans un peu d'huile d'olive, le sel et le poivre jusqu'à ce qu'ils soient tendres et légèrement grillés.
Dans un saladier, mélanger les œufs à la farine et la levure.
Ajouter peu à peu l'huile et le lait chauffé, puis les herbes de Provence.
Incorporer ensuite le gruyère râpé, mélanger, puis les poivrons et le thon émietté; mélanger bien.
Verser le tout dans un moule à madeleine non graissé et laisser cuire pendant 30 à 35 min.

Brochette tomate cerise, figue, chèvre, pain d'épices
tout découper en dé, tomate cerise en deux et figues en quatre et assemblés sur des piques.

- 250g de mascarpone
- 1 yaourt
- des fraises
- 8 spéculos
- 1 grosse meringue 

Mélanger le mascarpone, le yaourt et le sucre.

Mettre au fond d'une verrine un peu de miettes de biscuits et une  couche de fraises et mettre au dessus 1 couche du mélange au mascarpone, de la meringue. Remettre une couche de fraises puis une autre de mélange au mascarpone, remettre une couche de biscuits, de la meringue et une de fraises, puis une autre de crème et terminer par une couche de fraises et de biscuits écrasés.
Mettre au frais pendant au moins 2 heures et servir.


Bon appétit !

mercredi 16 juin 2010

Les autres et moi

Je partage avec vous mon petit bonheur de lecture du moment

L’humain est un animal social : il a besoin des autres.
Mais la peur – de déranger, d’être jugé, de ne pas savoir quoi dire – l’empêche souvent de se nourrir de contacts et rend la relation à l’autre souvent problématique. Si certains semblent maîtriser parfaitement les codes sociaux, d’autres se sentent démunis : ils ne savent comment se comporter et sont paralysés en public jusqu’à ressentir et entretenir une phobie sociale. La plupart d’entre nous oscillent entre ces deux extrêmes et sont plus ou moins à l’aise selon les circonstances. Or dans notre société, l’aisance sociale est une clef qui ouvre toute les portes. Pourtant on n’en enseigne pas les rudiments, alors qu’il serait si facile d’apprendre à reconnaître l’autre et engager avec lui une relation sereine, confiante. En plus de nos liens avec nos amis, notre famille, les relations avec nos voisins, nos collègues, les commerçants, les gens que nous croisons dans l’ascenseur ou dans la rue, peuvent nous apporter beaucoup. Isabelle Filliozat nous propose une vraie réflexion sur notre rapport aux autres, les codes, gestes et paroles souvent automatiques au début d’un échange, et des exercices pratiques pour mettre de côté, nos peurs, notre timidité, nos préjugés. Notre manière de saluer, de dire bonjour, de tendre la main ou la joue, de regarder l’autre, influe sur la suite de la relation. Nous avons par exemple appris à dire bonjour pour être poli, or c’est bien souvent un bonjour sans chaleur, sans conscience, sans signification. Isabelle Filliozat nous invite à redécouvrir la politesse du cœur, le goût de l’échange, de la conversation pour se sentir plus libre et plus heureux.
En mettant de côté nos peurs, en osant donner et recevoir, on devient vraiment sujet et non plus objet de nos vies.